Thomson Reuters a connu une bonne année malgré la vente

Le titre de Thomson Reuters (TRI) a chuté et a fait des méandres au cours de l'été, mais a passé l'automne à la hausse. Pourquoi les investisseurs affluent-ils vers ce titre apparemment suracheté ?

/ Publié le décembre 15, 2018

2018 a été une bonne année pour Thomson Reuters bien qu’en ce moment, le cours de l’action ait reculé, un résultat clair de la conclusion de son opération de remboursement de capital qui était effective avant la chute du cours du 27 novembre. Mais si l’on considère l’année qui s’est terminée le 26 novembre, l’action a connu une bonne progression dans l’ensemble. Parmi les événements importants de cette année, on peut citer une transaction de 17 milliards de dollars avec Blackstone, mais cette nouvelle et d’autres nouvelles positives n’expliquent pas entièrement ce que certains considèrent comme une situation de surachat.

Le fou de Motley a jeté un coup d’œil à la Thomson Reuters Corporation (TSX:TRI, NYSE:TRI) et a terminé en se demandant pourquoi elle a si bien réussi cette année. En tant qu’entreprise, ils soulignent qu’au moment de la fusion de The Thomson Corporation avec Reuters, The Thomson Corporation a cédé sa division journaux. Les sociétés fusionnées ont continué à développer leurs forces dans le domaine de l’information ainsi que des données juridiques et financières, avec une activité d’abonnement très saine.

La force surprenante de l’IRT

Le 26 novembre, elles ont clôturé à 71,52 $ à la Bourse de Toronto, après avoir commencé l’année à 60,30 $. Le Motley Fool note qu’à son apogée, Thomson Reuters s’échangeait à un ratio de 40 p/E et à trois fois sa valeur comptable. Mais ils ont du mal à justifier la baisse de ses bénéfices, surtout lorsque la société “blâme… la baisse des bénéfices d’exploitation et la hausse des impôts sur le revenu”, ce qui ne “ressemble pas à des conditions temporaires” pour The Motley Fool.

Thomson Reuters a bien des dividendes solides mais The Motley Fool ne s’attend pas à des “augmentations agressives” de sitôt. En fin de compte, The Fool hausse les épaules et suggère que L’accord de 17 milliards de dollars de Blackstone pour une participation dans les activités financières et de risque de Thomson Reuters pourrait être une justification. Mais si l’on considère une graphique de l’année en coursOn constate que la nouvelle a fait bondir le prix à 63,19 $, suivi d’une baisse de plusieurs mois qui a atteint un plancher à 53,02 $. Cette nouvelle semble donc bien digérée.

Se remettre du marasme estival

Cependant, une hausse progressive de juin à novembre s’est ensuite amorcée pour atteindre un sommet de 71,52 dollars le 26 novembre. Les principaux indices concernant l’augmentation progressive des prix et la réaction positive continue des investisseurs se trouvent dans les titres et les nouvelles des entreprises. Si l’on examine La couverture du TRI par Zacks pour l’année et aussi à Thomson Reuters communiqués de presse sur les relations avec les investisseurs pour l’année, on voit se dévoiler un récit positif.

investisseurs adorent le TRI de Toronto à Wall Street (Source)

Presque chaque trimestre, via la couverture Zacks, il y a des prévisions de bénéfices suivies de surprises de bénéfices. Et chaque rapport trimestriel ainsi que les mises à jour régulières communiquées aux investisseurs leur rappellent qu’une grande partie de l’investissement de Blackstone va leur être distribuée. Si l’on y regarde de plus près, oui, les bénéfices sont en baisse par rapport aux trimestres de l’année précédente. Et cela devrait être une plus grande préoccupation mais, peut-être, le fait que la croissance se poursuive et que les investisseurs en tirent profit a-t-il alimenté une belle course.

Qu’arrivera-t-il donc au titre après les bénéfices tirés de la distribution de l’investissement de Blackstone ? Au 28 novembre, le TRI s’élève à 66,46 $, ce qui représente une forte hausse par rapport au début de l’année, où il s’établissait à 60,30 $. Une grande partie des actions a été vendue par le directeur Richard Harrison King le 26 novembre et les investisseurs qui souhaitaient une augmentation du dividende trimestriel en décembre devaient être présents le 15 novembre, il est donc possible que la pression de vente actuelle soit passée. Si le TRI tient bon ou même bénéficie d’une hausse du marché en fin d’année, il pourrait encore s’agir d’une bonne année pour Thomson Reuters

(Image présentée par Solvency II Wire, CC BY 2.0).

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