De 2014 à 2017 environ, l’immobilier canadien est resté un rêve pour les investisseurs. Rester sur le côté positif d’un bilan favorise le confort des investisseurs. Un agrégat composite de la Association canadienne de l’immobilier (CREA) a montré que 2016 et 2017 étaient des années fastes. Comme tous les points de vue du marché, les valeurs et les versions changent. En 2018, le marché canadien, qui ne pouvait rien faire d’autre que de multiplier rapidement l’argent des investisseurs, s’est considérablement refroidi. C’est toujours un bon investissement, mais il n’est pas aussi performant qu’avant. En 2019, le réoutillage et la réforme vont devenir un autre type d’investissement immobilier.
Rappels
Le geai du Canada s’élève toujours, mais pas autant dans les hauteurs. L’immobilier reste un bon achat. Chaque ville a sa propre série de chiffres. Le prix des logements dans l’État de Victoria était encore positif à 8,7 % en septembre 2018. La Colombie-Britannique n’avait alors que 2,2 % autour de Vancouver, mais dans la région de la vallée du Fraser, elle affiche un taux positif de 8,5 %. Cela signifie qu’il faut vérifier davantage les informations avant d’investir.
Prenez un peu de recul par rapport aux chiffres et regardez le bilan. Lorsque vous mesurez les marchés de l’offre et de la demande, examinez la situation dans son ensemble et vérifiez la norme de déviation de la moyenne à long terme. Des conditions de marché équilibrées ont un écart-type pour cela. Vérifiez maintenant les 17 marchés locaux en 2018 et près des trois quarts de ces marchés locaux ont atteint des conditions de marché équilibrées en septembre. Les prix de l’immobilier peuvent simplement refléter l’enthousiasme des acheteurs à acheter dans une région ou s’il existe ou non une pénurie de logements. Fin 2018, il a fallu 5,3 mois à l’échelle nationale pour liquider les stocks. Les données sont faussées sur les marchés immobiliers lorsqu’on en fait la moyenne. Une moyenne nationale estimée à 487 000 dollars est devenue la moyenne de septembre 2018. Deux marchés, Vancouver et Toronto, ont été à l’origine de cette distorsion des prix de l’immobilier. Si l’on exclut ces marchés, la moyenne nationale passe à 383 000 $.
Un marché plus normal
Les investisseurs avisés trouveront des propriétés nettement sous-évaluées et les transformeront. Il faudra travailler maintenant. Reuters a interrogé 16 analystes au cours de la première semaine complète de septembre. Un consensus estime qu’il y aura une hausse de 1,7 %. Ajoutez à cela le fait que les banques ont décidé cette année de soumettre les emprunteurs à un “test de résistance” et vous obtenez un impact sur le taux de vente et les prix des maisons. Avec un examen plus approfondi, il peut sembler que le Canada a un marché défaillant, mais ce n’est pas le cas. Le geai canadien a décidé de voler plus près du sol mais toujours bien au-dessus du sol comme dans les arbres
Tendances possibles
Analysez la répartition des actifs dans le portefeuille et les projets immobiliers d’un investisseur. Il semble qu’il faudra faire des recherches si le parc immobilier a une saveur régionale ou une diversification globale. Vérifiez si un portefeuille a besoin d’un nouvel équilibre ou simplement d’un ajustement. Observez ce que font les fonds d’investissement immobilier. S’agit-il d’une phase d’acquisition ou de développement puis de stratégies de redéveloppement pour obtenir de meilleurs rendements ? Pricewaterhouse Canada a élaboré un rapport sur les nouvelles tendances 2019. La numérisation accrue du secteur a commencé à avoir un impact. Avec le soutien du gouvernement canadien à tant d’entreprises technologiques, il semble qu’il s’agisse d’une tendance à long terme. L’analyse des données révélera des opportunités inattendues d’achat ou de vente. Les consommateurs canadiens ont demandé l’intégration des technologies intelligentes à la maison. Les zones équipées de drones, les véhicules autonomes, l’intelligence artificielle sont en tête de liste des choses que les acheteurs recherchent dans une région lorsqu’ils décident où s’installer. La vente de biens de moindre qualité pour acheter quelques biens de meilleure qualité s’est développée. Le sentiment que les valorisations ont atteint leur sommet sur les marchés.Les tarifs et les taux d’intérêt ont atteint l’état d’esprit du public et sont devenus une préoccupation, mais aussi l’immobilier dans les marchés de prix.
Sur le TSX, il existe des sociétés immobilières, des sociétés d’exploitation immobilière et des fonds de placement immobilier. Si l’immobilier canadien ne peut pas satisfaire, il devient possible d’investir dans d’autres terrains. Qu’ils soient industriels, technologiques, des sciences de la vie, d’investissement, immobiliers ou diversifiés, il existe deux niveaux pour les investisseurs à la recherche d’opportunités. Il passe au crible les fonds de roulement et les ressources financières. Si l’entreprise n’a pas de revenus, elle demande un plan de gestion sur deux ans indiquant dans les 24 mois comment les revenus seront générés. Les offres ne précisent pas toujours de manière évidente si elles sont locales, régionales, nationales ou mondiales. Comme les données arrivent pour le dernier trimestre de 2018, prenez le temps d’examiner les participations actuelles et de chercher d’autres opportunités. Alors que le gouvernement canadien développe les transports publics, les propriétés à proximité obtiennent une valeur ajoutée. Sinon, un marché décent avec des taux décents. Comme le Jay TSX canadien, les investisseurs immobiliers ont cette personnalité amicale, robuste et intelligente qui peut aller jusqu’au bout.
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