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Des inquiétudes sur la politique énergétique du Canada

La politique énergétique du Canada fait l'objet de critiques sévères alors que les acteurs de l'industrie énergétique du pays continuent à se battre.

/ Publié le septembre 28, 2020

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Un autre analyste a exprimé sa frustration à l’égard de la politique énergétique du Canada. Dans une lettre adressée au Premier ministre Justin Trudeau par Darren Peers, investisseur du groupe Capital, il a déclaré que l’accès difficile au marché dans le secteur de l’énergie du pays pourrait inciter davantage d’investisseurs à se tourner vers un autre endroit. L‘une des plus grandes frustrations des investisseurs dans le secteur de l’énergie comme Peers est l’incapacité de M. Trudeau à construire des pipelines qui permettraient d’alléger la remise record sur le brut issu des sables bitumineux, selon Bloomberg la déception des experts de l’industrie a été déclenchée par la chute des prix du pétrole canadien avec un rabais record de 50 $ par baril par rapport à la référence américaine le mois dernier. La lettre des pairs, datée du 19 octobre, a déclaré : “Les investissements énergétiques de Capital Group se déplacent de plus en plus vers d’autres juridictions et cela va probablement continuer sans une action gouvernementale forte. Il ajoute qu’il espère que le gouvernement adoptera une approche plus proactive pour maintenir l’avantage du secteur énergétique canadien en offrant un meilleur accès au marché pour les entreprises du secteur de l’énergie. Le Canada a essayé de réduire les émissions et cherche des options énergétiques qui seraient plus socialement responsables – un peu comme d’autres pays comme les États-Unis. Le Canada a essayé de réduire les émissions et cherche des options énergétiques plus socialement responsables, un peu comme d’autres pays comme les États-Unis, mais le gouvernement doit aider les foreurs à distribuer le pétrole brut sur les marchés mondiaux, par le biais de pipelines, et comme certains des plus grands acteurs du secteur pétrolier, comme TransCanada et Kinder Morgan, ne sont pas en mesure de faire approuver de nouveaux pipelines, les échanges de pétrole au Canada sont réduits à un niveau record. Dans sa lettre, M. Peers a également déclaré que “les investisseurs s’interrogent de plus en plus sur les avantages d’investir dans l’énergie canadienne et, de ce fait, les entreprises canadiennes auront du mal à accéder aux capitaux, à créer des emplois, à développer les ressources et à fournir une source de revenus importante pour le pays“, mais que le gouvernement a déjà soutenu certains programmes de pipelines, comme l’extension de Trans Mountain de Kinder Morgan. Cette expansion permettra à la compagnie de transférer plus de pétrole vers la côte pacifique. Mais l’oléoduc a finalement été arrêté car des groupes environnementaux et le gouvernement de la Colombie-Britannique ont critiqué le projet. Finalement, Trudeau a été forcé de racheter le projet plus tôt cette année.  Les compagnies énergétiques ont exhorté le gouvernement à faire quelque chose à propos des sables bitumineux.

L‘opinion de ses pairs sur la question vient de son affiliation au Capital Group, car la société ne gère pas seulement 1,7 trillion de dollars d’actifs mondiaux, mais a également des participations et des investissements importants dans plusieurs sociétés énergétiques au Canada, notamment Suncor Energy Inc, Enbridge Inc, Canadian Natural Resources Ltd, Keyera Corp, TransCanada Corp, Cenovus Energy Inc et Whitecap Resources Inc.

L’une des entreprises mentionnées, Cenovus Energy, qui est également l’un des plus grands acteurs dans le domaine des sables bitumineux au pays, a également exhorté le gouvernement à faire quelque chose au sujet de la crise pétrolière.

Selon CBC News, Cenovus Energy encourage le gouvernement de l’Alberta à appliquer des réductions de productiontemporaires” dans tout le secteur pétrolier, alors que les prix du brut canadien continuent de chuter. Il a été dit que le manque de capacité des pipelines affecte l’immense différence entre le prix du brut canadien et le prix de référence américain – ce qui est coûteux pour les entreprises et les gouvernements locaux. En ce qui concerne le contrecoup que le gouvernement canadien a dans Vanessa, la porte-parole du ministre des Ressources naturelles Amarjeet Sohi, a déclaré qu’ils comprennent l’importance de l’accès au marché pour la compétitivité économique du pays, en particulier dans l’industrie de l’énergie, c’est pourquoi ils cherchent et travaillent à s’étendre à d’autres marchés mondiaux en dehors des États-Unis.

AVERTISSEMENT : Le présent article a été traduit de CAStocks.org par un contributeur tiers et ne reflète pas l’opinion de CAStocks, de sa direction, de son personnel ou de ses associés. Veuillez consulter notre clause de non-responsabilité pour plus d’informations.

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