avril 24, 2024 1:10 AM

Le Canadien Fintech se bat pour régler le processus d’hypothèque

L'une des plus grandes plaintes des propriétaires et des propriétaires potentiels est que le processus de prêt hypothécaire est complexe et difficile. Il peut être déroutant de décider quelle entreprise fera la meilleure affaire et le processus de qualification prend beaucoup de temps et est généralement désagréable. Toutefois, un grand nombre de start-ups fintech espèrent s'attaquer à ce problème.

/ Publié le avril 8, 2019

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L’une des plus grandes plaintes des propriétaires et des propriétaires potentiels est que le processus de prêt hypothécaire est complexe et difficile. Il peut être déroutant de décider quelle entreprise fera la meilleure affaire et le processus de qualification prend beaucoup de temps et est généralement désagréable. Toutefois, un grand nombre de start-ups fintech espèrent s’attaquer à ce problème.

Des simples sites de comparaison de taux aux offres plus complexes, l’intelligence artificielle est progressivement introduite dans les processus de prêts hypothécaires de diverses manières, y compris par le biais des chatbots. Mais les humains sont également nécessaires dans le mélange et cela conduit parfois à une division entre ceux qui croient qu’un site web peut tout faire et ceux qui soutiennent que les humains sont également nécessaires.

Canadian fintech et le secteur hypothécaire

Rob McLister, qui dirige RateSpy.com et est décrit par la Presse canadienne comme un “expert en hypothèques”, soutient que les futurs prêts hypothécaires seront en grande partie obtenus en ligne et impliqueront probablement un chatbot. Étant donné que la plupart de ces services se déplacent en ligne à mesure que les start-ups fintech et leurs investisseurs cherchent à s’emparer de la prochaine semaine de services hypothécaires et que les chatbots sont un phénomène incroyablement répandu, cela semble un pari sûr.

Curieusement, le site RateSpy.com lui-même semble un peu dépassé. Il trie beaucoup d’informations en fonction d’entrées spécifiques, mais, en gros, cela signifie qu’il dispose d’une base de données avec une interface. Pas de chatbot en vue !

Les sites web de comparaison étaient une innovation lorsqu’ils sont apparus pour la première fois au grand jour. Ils continuent de fournir un service utile à ceux qui commencent leur recherche d’un prêt hypothécaire répondant à leurs besoins et qu’ils peuvent obtenir en fonction de leurs antécédents financiers. Mais il faut finalement traiter directement avec un prêteur.

Comme le souligne Pat Giles, vice-président de la Banque TD chargé des billets de prêt garantis par des biens immobiliers, le processus a toujours nécessité de nombreuses réunions en face à face et beaucoup de paperasserie. Comme la plupart des acheteurs de maison redoutent l’idée de ce processus, la Banque TD (NYSE:TD) a lancé un service en ligne pour faciliter au maximum le processus. Mais Giles’ souligne également que les gens voudront toujours un être humain impliqué et qu’ils continueront à fournir une gamme complète de services.

Le visage humain de la banque

Bien entendu, la plupart des banques mettent l’accent sur l’aspect humain. Pour de nombreux clients, les banques sont des entités quelque peu anonymes et imposantes qui ne sont pas là pour aider mais pour monétiser. Néanmoins, une fois le processus de prêt hypothécaire entamé, les acheteurs de maison rencontrent des employés de banque, dont beaucoup peuvent être très utiles et apporter leur soutien.

Nicole Wells, vice-présidente du financement sur fonds propres à la Banque Royale (NYSE:RY), souligne que les gens ne recherchent pas simplement des taux d’intérêt avantageux. Ils veulent aussi quelqu’un à qui ils peuvent parler et comprendre la situation dans son ensemble et la façon dont on “gère tous les coûts de l’accession à la propriété”.

Cependant, la Banque Royale développe également des services en ligne pour les futurs propriétaires et pour ceux qui ont déjà un prêt hypothécaire mais qui pourraient faire mieux avec un refinancement. Par exemple, un client de la Banque Royale ayant une hypothèque d’une autre banque peut aller en ligne pour savoir s’il peut bénéficier d’un refinancement de la Banque Royale et si cela serait une meilleure affaire. Dans le processus, la Banque Royale les présélectionne sur la base des informations que la banque possède sur ce client et des informations supplémentaires telles que les rapports des agences de crédit. Côté client, une demande prend quelques minutes et donne lieu à un contact humain.

Ce service peut être automatisé car les banques et les institutions financières et agences de crédit qui y sont liées disposent déjà d’un grand nombre d’informations sur leurs clients et une grande partie du processus de prêt hypothécaire est normalisée. M. Wells reconnaît que la technologie peut être une pièce encore plus importante du puzzle en “liant les gens et les clients ensemble”. Par exemple, la Banque Royale pourrait inclure des documents numériques supplémentaires et des signatures électroniques pour rationaliser davantage le processus et réduire les réunions.

Questions réelles et futures technologies

Une entreprise canadienne de fintech s’est concentrée sur les hypothèques, Real Matter (TSE:REAL), peut symboliser à la fois les rêves et les échecs de la technologie hypothécaire actuelle. Real Matters fournit une plateforme qui sert les professionnels via une “place de marché pour les services du secteur du crédit hypothécaire et de l’assurance”. Au Canada, elle fournit des évaluations de prêts hypothécaires résidentiels à un large éventail de banques par l’intermédiaire de Solidifi, qui opère également aux États-Unis, et assure des inspections d’assurance via iv3. Une grande partie de ses activités est associée au refinancement des prêts hypothécaires.

Real Matters a fait ses débuts sur le TSE en mai 2017 en grande pompe, mais le titre lui-même n’a pas fait bonne figure au fil du temps. L’analyste de Motley Fool, Will Ashworth, la considère comme un “achat spéculatif” pour 2019, tandis que l’analyste de la Banque nationale du Canada, Richard Tse, lui attribue une note de “performance sectorielle”. Mais c’est la fortune d’une seule entreprise.

Une étude récente a affirmé qu’il y a plus de 600 entreprises privées de fintech au Canada. Elle a révélé que les “prêts et hypothèques” étaient l’une des cinq premières catégories de ces entreprises fintech. Il est donc probable que certaines d’entre elles répondent aux préoccupations des acheteurs de maisons et cela signifie que le processus de prêt hypothécaire canadien va probablement se poursuivre en ligne dans les années à venir.

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(Image présentée par Fabio Balbi via Shutterstock)

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