mars 29, 2024 7:50 AM

Le Canada adopte la technologie de la Blockchain

Le Canada, réputé pour sa convivialité technologique, garde une longueur d'avance en adoptant une technologie révolutionnaire.

/ Publié le octobre 13, 2018

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Souvent décrite comme l’épine dorsale d’une couche de transactions sur l’internet, la blockchain s’est d’abord imposée comme un grand livre numérique où sont effectuées des transactions en monnaie de cryptologie telles que Bitcoin et Ethereum, les données étant enregistrées chronologiquement et publiquement. Elle a ensuite gagné en popularité grâce à sa sécurité accrue, qui rend les transactions monétaires plus sûres et beaucoup plus rapides que les méthodes bancaires traditionnelles. Bien entendu, il s’agit encore d’une forme de technologie primitive, et beaucoup de choses sont encore mal comprises à son sujet. Mais alors que de nombreuses entreprises et organisations du monde entier l’adoptent, le brouillard autour de la blockchain commence lentement à se dissiper. Et maintenant, le Canada, l’un des principaux pays du monde en matière de technologie, commence à tirer parti de son la technologie du grand livre distribué (DLT) afin de permettre des transactions plus rapides et plus sûres, de rationaliser et d’automatiser les opérations de back-office, d’améliorer l’expérience globale du client et même de réduire les coûts, tout cela en même temps.

Adoption anticipée

Selon Paritosh Gambhir, qui est le chef de Blockchain et partenaire pour les services financiers chez KPMG au Canada, “il existe plusieurs bons exemples dans les secteurs privé, public et à but non lucratif où des organisations adoptent la chaîne de distribution pour créer de nouvelles expériences pour les clients et améliorer leurs opérations”.

Les sociétés de services financiers, par exemple, selon M. Gambhir, ont innové en sortant des sentiers battus afin de simplifier l’ensemble du processus de paiement, de rationaliser les opérations sur titres, d’améliorer les programmes de fidélité et même de changer la manière dont les contrats intelligents sont élaborés. Selon M. Gambhir, il s’agit là d’améliorations avérées du système qui peuvent se transformer en modèles commerciaux crédibles.

En effet, la technologie de la chaîne de blocs s’avère très utile dans diverses applications. Par exemple, les professionnels de KPMG ont conseillé des clients du monde entier sur un large éventail de solutions basées sur la chaîne de blocs. Il s’agit notamment de la visibilité de la chaîne d’approvisionnement, d’un système d’approvisionnement pour la gestion des immobilisations, du suivi des pièces et de la documentation avec gestion fiscale pour une entreprise aérospatiale, d’une plateforme de distribution pour le secteur luxembourgeois de la gestion des actifs, et même d’un système de suivi pour une société pharmaceutique américaine, où il sera utilisé pour suivre les produits finis conformes à la loi sur la sécurité de la chaîne d’approvisionnement en médicaments à partir de 2013.

Gambhir a ajouté : “Adopter une nouvelle technologie qui progresse rapidement n’est pas facile, mais les entreprises canadiennes ne devraient pas attendre que l’engouement pour la chaîne d’approvisionnement s’estompe. Le temps est venu de tester des cas d’utilisation et de passer à la mise en œuvre et à la gouvernance – ou de risquer de se laisser distancer”.

Et il est vrai que la blockchain, bien qu’elle soit encore une technologie relativement jeune, a la capacité non seulement de perturber les organisations, mais aussi d’améliorer les chaînes d’approvisionnement et de mener d’autres processus multipartites.

un nouvel espace

Partout dans le monde, les grandes entreprises commencent également à remarquer les vagues de chaînes de blocage du Canada. Accenture, par exemple, a récemment révélé qu’elle prévoyait de construire un centre d’innovation qui serait situé à Toronto. Cela permettra de créer 800 nouveaux emplois pour les locaux, qui aideront ensuite les clients à travailler sur de nouvelles technologies telles que la cryptographie, l’intelligence artificielle et, bien sûr, les chaînes de production.

AVERTISSEMENT : Le présent article a été traduit de CAStocks.org par un contributeur tiers et ne reflète pas l’opinion de CAStocks, de sa direction, de son personnel ou de ses associés. Veuillez consulter notre clause de non-responsabilité pour plus d’informations.

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