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Une commission parlementaire des finances canadienne soutient les cryptomonnaies

La commission des finances de la Chambre des représentants du Canada a recommandé au moins trois façons dont le gouvernement devrait réglementer les cryptomonnaies.

/ Publié le septembre 17, 2020

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Dans un nouveau rapport par le journal numérique canadien iPolitics, la commission des finances de la Chambre des représentants du Canada a recommandé que, pour prévenir toute menace potentielle de blanchiment d’argent, le gouvernement commence par réglementer les cryptomonnaies.

Dans cette publication, le comité a suggéré que lors de son examen de la loi sur le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme (PCMLTFA), qui a lieu tous les cinq ans, la réglementation des cryptocurrences devrait être prise en considération. Une des nombreuses innovations apportées par la technologie moderne, la cryptocurrence est une forme de monnaie numérique qui a gagné en popularité parmi les investisseurs au cours des dernières années, le Bitcoin étant le plus connu. Aujourd’hui, différents types de ces pièces numériques existent sur le marché, bien que leur la chute qui a commencé en janvier a laissé les investisseurs (appelés “HODLers”) espérer une hausse massive de la demande dans un avenir proche.

Réglementation des pièces numériques

Depuis février, le comité a tenu trois réunions pour l’examen, au cours desquelles il a proposé trois façons pour le gouvernement de réglementer les actifs numériques. La première recommandation du comité est de contrôler l’échange de la monnaie fiduciaire à la monnaie de cryptologie et vice versa. La première recommandation du comité est d’obtenir le contrôle de l’échange de la monnaie fiduciaire à la monnaie cryptographique et vice versa. Cela définit l’entité qui effectuera l’échange comme une entreprise de services monétaires, donc une façon d’insérer la réglementation dans le scénario entier. Cette recommandation est conforme à un nouveau projet de loi sur la cryptographie au Canada, qui définit à nouveau les échanges cryptographiques comme des entreprises de services monétaires. La seconde recommandation est que le gouvernement exige que les échanges de devises cryptographiques aient une licence, similaire à la BitLicense de New York. Le conseiller financier IJW & Co. ainsi que le cabinet d’avocats Durand Morisseau LLP ont également fait des suggestions, indiquant combien il est facile d’utiliser les transactions de crypto sur le marché actuellement non réglementé pour des activités illégales

L’article se lit comme suit : “Les transactions en cryptocurrences peuvent être utilisées par les parties pour déplacer rapidement de grandes quantités de richesses à travers les frontières, et que la réglementation (des échanges de devises fiduciaires pour les cryptocurrences) répondrait aux préoccupations (de lutte contre le blanchiment d’argent) de l’espace des cryptomonnaies” Enfin, la troisième recommandation du comité pour le gouvernement est de réglementer les portefeuilles numériques utilisés pour conserver les cryptomonnaies. Le gouvernement dispose alors d’un délai maximum de 120 jours pour répondre aux recommandations, qui doivent être décidées à la Chambre des communes.

Un espace non réglementé 

En raison de sa nature décentralisée, les cryptomonnaies ont tendance à être préférées par les investisseurs et les amateurs, ses échanges étant généralement moins chers puisqu’aucune entité intermédiaire comme les institutions financières n’est impliquée.

Cependant, cette nature décentralisée est peut-être l’un des plus grands inconvénients de l’utilisation de la cryptoconnaissance, car elle la rend plus vulnérable aux activités illégales telles que le blanchiment d’argent et la fraude. Alors que le monde rattrape les actifs numériques, divers efforts, comme celui de la commission des finances de la Chambre des représentants du Canada, sont déployés pour tenter de rendre le secteur beaucoup plus sûr.

AVERTISSEMENT : Le présent article a été traduit de CAStocks.org par un contributeur tiers et ne reflète pas l’opinion de CAStocks, de sa direction, de son personnel ou de ses associés. Veuillez consulter notre clause de non-responsabilité pour plus d’informations.

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