mars 29, 2024 12:45 AM

Bitfarms se prépare à la réglementation canadienne en matière de cryptologie monétaire

Israël s'intéresse de près à la technologie de cryptage canadienne et met les entreprises en position de force, le gouvernement canadien ayant utilisé la technologie des grands livres distribués de la chaîne d'approvisionnement.

/ Publié le mai 30, 2018

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En septembre 2018, le gouvernement canadien a soutenu une expérience utilisant la technologie du grand livre distribué. La banque l’a intégrée dans le système monétaire actuel la nationalisation de la cryptoconnaissance. À plus long terme, le gouvernement commencera à réglementer davantage la cryptoconnaissance et à supprimer les entreprises qui ont des objectifs ultérieurs (comme pour le cas de Bitfarms). Cela indique que les entreprises doivent garder un œil sur les éventuelles législations ainsi que sur les investisseurs qui pourraient avoir un impact sur l’industrie. (TASE : BLLCF.TA) (OTCQX : BLLCF), une entreprise israélienne qui parraine une multitude d’exploitations agricoles pour la cryptoconférence, cherche maintenant à se faire accepter en tant qu’entreprise publique au Canada en passant par le processus réglementaire. Le 12 novembre 2018, la Commission des valeurs mobilières de l’Ontario a reçu une prospectus de l’entreprise. Elle offre la puissance de calcul nécessaire pour faire fonctionner les cryptocurrences.

Transitions

L’entreprise semble être en pleine mutation. Au printemps dernier, elle a été baptisée Blockchain Mining LTD (TASE:BLCM) (OTC:BITFY). Le nom Bitfarms est associé à Backbone Hosting Solutions Inc. qui offre des services technologiques dans le monde entier. En mars, Bitfarms Technology Inc. puis Bitfarms LTD sont apparues. Bitfarms a été rebaptisée au Québec en tant que société canadienne, avec un Canadien, Wes Fulford, comme PDG. Tel Aviv et Montréal Canada ont annoncé que la branche commerciale s’appelait Bitfarms.

En novembre 2018, Global Finance and Banking a annoncé que Bitfarm était désormais propriétaire de Backbone Hosting Solutions, une société privée. En avril, certains sites ont fait état d’une fusion de Backbone Hosting Solution et Blockchain Mining LTD. La plupart des experts du secteur, lorsqu’ils écrivent sur les entreprises, citent souvent les solutions d’hébergement de dorsale et les fermes de bits côte à côte plutôt que des entités séparées. De plus en plus de sites classent Bitfarms comme une entreprise canadienne plutôt qu’une entreprise israélienne. Jusqu’à ce que le prospectus soit approuvé, l’entreprise aura plusieurs visages.

Mise à jour opérationnelle

En novembre 2018, Technologies des exploitations agricoles a affirmé qu’il a intégré verticalement la cryptocourant et a fait migrer ses mineurs vers le nouveau système. La société a bien survécu aux assauts de la chute de Bitcoin et ses ventes de matériel minier sur le marché secondaire lui ont donné satisfaction. Occupée à construire son pipeline de 125 mégawatts d’hydroélectricité verte au Québec, elle semble à ce niveau avoir un plan.

Au service des Canadiens

Bitfarms Pool, la branche logicielle, est devenue une société cotée en bourse. Détenue à 100 % par des Canadiens, elle gère un pool minier pour la cryptoconnaissance et le logiciel offre une architecture de service à la clientèle au Canada. Elle conserve les données des clients sans qu’aucun tiers n’y ait accès.

L’entreprise a mis en place des nœuds d’accès public dans le monde entier, auxquels les cryptophiles pourront accéder à partir du mois d’octobre. En tant qu’entreprise de cryptologie, résoudre l’énorme consommation d’électricité et obtenir suffisamment d’électricité reste un obstacle pour des entreprises comme Bitfarms. Les ordinateurs consomment des quantités extraordinaires d’électricité et le fait d’être situés au Canada, qui s’est engagé publiquement dans une démarche de développement durable, leur confère un certain avantage.

Conclusion

La nationalisation de la cryptoconnaissance a ouvert un éventail de possibilités. De nombreuses entreprises se sont jointes au mouvement, et le jeu est donc lancé. Darwin nous a appris la survie du plus fort, mais dans les affaires, il faut une relation qui présente des aspects mutuellement bénéfiques. Une compétition contre un système, quelqu’un ou simplement une bonne course avec l’argent pour voir ce qu’une entreprise peut en faire fait une conversation intéressante. L’époque du Grand Nord sauvage est en train de se produire avec les crypto-mineurs et les investisseurs. Profitez-en maintenant, car le gouvernement canadien va le réglementer en profondeur.

AVERTISSEMENT : Le présent article a été traduit de CAStocks.org par un contributeur tiers et ne reflète pas l’opinion de CAStocks, de sa direction, de son personnel ou de ses associés. Veuillez consulter notre clause de non-responsabilité pour plus d’informations.

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